Petite erreur (libre)

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Luna avait cherché les toilettes partout. Elle avait découvertes 2 portes identiques avec écrit "Toilettes" au dessus, sur le mur. *Mais qu'elles sont les toilettes des filles, et qu'elles sont les toilettes des garçons ? Tant pis, je vais ouvrir une porte au hasard !* Elle ouvrit la porte se trouvant à droite. Elle s'ouvrit sur une salle carrelée de partout, du carrelage blanc cassé et bleu.

*ça doit être là !* pensa t-elle. Elle se dirigea vers la première des cabines et ouvrit la porte, et à ce moment, elle entendit un bruit derrière elle. Elle se retourna et vit... un garçon qu'elle ne connaissait pas.

*C'est bien ma veine ! Je suis tombée sur les toilettes des garçons !*

C'est alors que le garçon parla.

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Valentin pénétra dans les toilettes, et avant même de pousser la porte, il sentit une odeur... connue et exquise. Il réfléchit d'ou elle pouvait bien venir, pourtant la réponse était évidente.

LUNA. LUNA. LUNA.

Il entra et la vit.

-Tu ne me reconnais pas ?

Il vit son visage se détendre : elle l'avait reconnu. Alors sans savoir pourquoi, a ce moment il perdit la raison. Comme aucun garçon ne se trouvait là, il la prit par les hanches et l'entraîna dans une des cabines et ferma à clefs. Il approcha son visage du cou ou coulait le sang de cette fille si désirée, puis se ravisa.

*Je ne commettrais pas ce meurtre.*

Alors il l'embrassa passionnément.

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Luna fut désemparée par ce baiser si soudain. Mais elle le lui rendit avec passion. Elle adorait ça. Elle le voulait. Leur baiser dura longtemps et lorsqu'il fut interrompu elle commença a l'embrasser partout tout en enlevant son tee shirt. Elle ne savait pas pourquoi elle faisait ça maintenant, là, mais elle ne pouvait plus s'arrêter. Ne VOULAIT plus s'arrêter. Alors elle continua et mit la main sur le bouton du jean de Valentin, le retira. Il se laissa faire. Elle le déshabilla complètement. Ils se sérrerent l'un contre l'autre. Elle haletait... et...

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Valentin laissa Luna le déshabiller ( en l'aidant un peu, voire beaucoup ) et la serra toujours plus contre lui. Ils étaient encrés l'un à l'autre de TOUT leurs corps. Valentin s'en délectait. Il l'embrassait toujours plus, toujours plus longtemps toujours en se pressant plus fort contre elle... ils étaient entièrement nus a ^présent, et imprégnés l'un de l'autre. Valentin haletait lui aussi et était hors de lui, et il en faisait toujours plus, allait toujours plus loin...

-Je t'aime, haleta t-il. Je t'aime de tout mon âme depuis le début. Ce n'est pas ton sang que je veux... C'est toi. Et j'ai ce que je veux...

Et il replongea dans ses lèvres en gémissant. Luna était a présent assise ( presque allongée ) sur la cuvette, et lui par dessus. Il la serrait toujours plus fort, presque à la faire étouffer... ni l'un ni l'autre ne pouvaient s'arrêter. Il restèrent longtemps comme ça a se serrer toujours plus fort partout et e prolongeant leurs embrassades.

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Le bonheur et l'exaltation de Luna étaient à leur comble. Elle était scotchée a Valentin, et son coeur battait la chamade. Valentin était si sensuel... Impossible de s'arrêter.

-Moi aussi, je t'aime. Impossible de se séparer de toi. Jamais...

Et elle recommença à l'embrasser passionémment. Valentin ayant l'air d'apprécier, elle redoubla la force de son étreinte et l'embrassa furieusement. Ses émotions arrivèrent rapidement à leur comble et y restèrent si longtemps... Il la touchait, la carressait partout sans les séparer. Elle faisait de même. Elle continuait à haleter, essouflée comme jamais mais non moins heureuse, voire euphorique. Elle faillit craquer plusieurs fois sous le choc de ces émotions nouvelles. Mais elle tint bon et redoubla de désir pour lui... Mais au bout d'un moment, elle lâcha tout et s'abandonna a l'étreinte de Valentin en l'embrassant toujours. Elle se mit a le renifler partout en suivant la courbe de son corps jusqu'à arriver à... enfin bref elle l'embrassa partout puis revint a sa bouche. Valentin se laissait faire. Au bout d'un moment, elle le rhabilla, explorant son corps musclé et froid comme du marbre, et lui fit de même. Il s'embrassèrent longtemps, puis sortirent des toilettes bras dessus bras dessous.

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